Coupable du meurtre de sa première et sa seconde femme Monsieur Simcox passe aux assises mais dans l’Angleterre de 1948 la chambre des Communes vient de se prononcer contre la peine de mort et Monsieur Simcox se voit alors gracié. Reconnu cependant mentalement instable, il va tenter par la suite de tuer sa troisième épouse. L’histoire devrait plutôt s’appeler “ Comment Monsieur Simcox a échappé deux fois à la peine de mort ?” car cette histoire est celle d’un homme au tempérament possessif, agressif et violent que la justice anglaise a rattrapé et condamné une seconde fois ! Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Nous sommes dans l’Allemagne d’après-guerre en 1947. Une veuve nommée Maria est constatée morte par pendaison à son domicile vers 4h du matin par le médecin. Ce sont les deux filles de cette femme qui ont donné l’alerte, croyant au début à l’intrusion de cambrioleurs. Elles ont retrouvé le corps étendu dans la cuisine, la corde qui tenait son cou avait manifestement lâché. Le médecin constate la strangulation et l’histoire semble s’arrêter là. Pourtant, 8 ans plus tard, un policier à l’indiscutable flair va ressortir ce dossier manifestement classé suite au lapsus d’une jeune femme. Arrêtée lors d’une sorte de rafle et manifestement ivre, elle est très en colère d’avoir été gardée au commissariat alors que son amie a été relâchée et prononce une phrase surprenante qu’elle ne termine pas, se rendant sûrement compte qu’elle vient de laisser échapper un indice inculpant son amie Erna. Erna est la fille de la veuve Maria, présumée suicidée. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Pacifique Sud, archipel des Tuamotu. 80 atolls dont 40 habités. Ma’té, un indigène, est sorti pour sa partie de pêche quotidienne sur l’anneau extérieur de l’atoll, celui où il n’y a pas de plage. De ce côté-ci, la côte est balayée par le vent, les vagues et une houle assez forte. Il aperçoit un bateau, qui semble avoir été victime des caprices de l’Océan. Il rencontre un homme, le matelot du bateau, un certain Jean-Marie Ernoux. Il est couvert de sang et dit qu’il a cherché le propriétaire du bateau et son épouse mais ne les a pas retrouvés. Ma’té sait que de nombreux requins nagent autour des atolls et éteint les espoirs du marin en lui affirmant qu’ils ont sûrement été dévorés. L’atoll étant loin de toute civilisation, il faut 3 semaines aux autorités pour se rendre sur place et mener l’enquête. Ce qui laisse à Ma’té le temps de mener sa propre enquête… Il a remarqué un détail qui va faire toute la lumière sur cette histoire. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

L’histoire se déroule en Allemagne, au début du régime nazi, nous sommes en 1937. Un vieux Monsieur tente de se faire recevoir par l’administration car il se sent coupable de la mort de sa femme. On finit par écouter son histoire mais aucune suite n’est donnée. Et un jour la police vient toquer chez lui, pour l’accuser, non pas du meurtre de sa femme comme on pourrait le penser, mais parce qu’il est juif. L’histoire de ce vieil homme n’a pas vraiment de dénouement, retrouvé pendu dans les bois, il aura été identifié et sa mort sera passée sous silence. Pas d’enquête… On connaît les motivations du vieil homme grâce à une lettre et un petit dossier récupéré après cette terrible époque qu’à été le conflit 39-45. Un petit dossier agrémenté seulement de quelques fiches, qui a survécu aux incendies, aux bombardements et à tous les chamboulements que peut provoquer la guerre. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Cette histoire se déroule sur 12 ans, entre 1877 et 1909. Un certain Lord Willoughby, qui s’appelle en réalité John Smith, escroque des femmes en usant d’un peu de charme et de bonnes manières. Il se fait confier leurs bijoux contre un joli chèque et aucune d’entre elle ne se méfie de ce gentleman si bien habillé et qui, de prime abord semble éduqué et riche. Il finit pourtant par se faire arrêter, il avoue, purge sa peine et lorsqu’il sort en homme libre, disparaît dans la nature. Le pauvre Adolf Beck va payer les pots cassés d’un John Smith de nouveau libre. Une femme a qui a été dérobée une montre et qui, avait pris le thé avec un homme quelques temps auparavant, semble le reconnaître dans la rue et le fait arrêter. Mis en ligne avec d’autres hommes au commissariat pour confrontation : 11 femmes semblent le reconnaître… visage et accent similaires. Et commence une longue série de malheurs pour le pauvre Adolf Beck. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Un petit village de montagne en France en 1957. Les effectifs de la gendarmerie sont minimes et chacun doit effectuer sa tournée et ses tâches seul. Le gendarme S se voit attribuer ses missions journalières dans une commune voisine, il remplit sa mission et après avoir bu un verre avec ses collègues, se retire après 19h pour aller voir le maire d’une commune voisine. C’est la dernière fois qu’il sera vu vivant. Sa voiture est retrouvée abandonnée avec ses effets sur le siège, on interroge toutes les personnes qui l’ont vu lors de sa dernière journée de travail. Les recherches commencent et c’est après plusieurs jours, que des paysans retrouvent un corps à moitié dissimulé dans la neige, à seulement 500 mètres du véhicule abandonné. Le gendarme S a été abattu de 5 balles et, fait intriguant : son carnet de procès-verbal a été dérobé. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Nous sommes dans un petit village de France en 1930. Raymonde est amoureuse d’Alfred et c’est réciproque. Le père de cette dernière, un forgeron bourru, n’accepte pas de donner la main de sa fille a ce jeune homme qu’il juge trop rêveur. Son refus encourage les amants à s’enfuir un soir de printemps. L'inattendu se produit, Alfred pense que Raymonde va changer d’avis et lui tire dessus avant de retourner l’arme contre lui et de se tirer dans la tête. Les deux jeunes gens sont secourus et Alfred reste aveugle. Cet épisode malheureux aurait dû les séparer. Cette tentative de meurtre puis de suicide aurait dû avoir raison de leur amour. Mais Raymonde semble toujours l’aimer, et Alfred en doute, il pense que c’est de la pitié et quand elle le retrouve pour poursuivre leur idylle, la suite des évènements n’a rien de romantique. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Nous sommes aux Etats-Unis juste après l’assassinat de Kennedy, à New York. La ville est si grande qu’il est aisé de disparaître sans que personne ne s’en rende compte. C’est le cas de Mildred, une femme rousse, qui a laissé son appartement en désordre, avec une chemise à col large sur la table à repasser. C’est son frère qui, possédant un double des clés, entre et remarque ce détail. Une enquête est ouverte et on recherche Fritz, l’ex-mari de Mildred, séparé d’elle depuis un an après une ultime dispute conjugale. Fritz a un large cou, qui pourrait rentrer dans la chemise que Mildred semblait repasser avant sa disparition. Pourquoi ferait-elle une chose pareille si ils étaient séparés ? Tour à tour interrogé, mis en garde à vue, relâché puis emprisonné, Fritz est le seul suspect. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.